Ma Petite Poupée Russe...

Etat civil :

Nom : Kseverinova
Prénom : Sofia Ilievna
Âge : 16 ans
Sexe : Femme
Titre ou emploi : Fille de joie, et serveuse à la Taverne accessoirement.

Dossier médical :

Taille : 1m57
Poids :39 kg, parfois moins.
Description physique : Sofia est ce qu’on pourrait appeler une poupée russe (pas celles qui s'emboîtent, évidement). D’une très grande beauté, elle n’hésite pas à utiliser ses charmes. Son visage au teint très pâle est encadré par une cascade blonde de cheveux tourbillonnants jusqu’à ses fesses. Ses grands yeux sont très foncés mais la couleur, étrange, donne des reflets miels au soleil, qui lui fait un regard époustouflant et hypnotisant. Derrière leurs grandes beautés, la bouche et le nez se font discrets et laissent toutes les attentions se tourner vers les yeux de la Belle. Sa silhouette sculptée par sa misère est très fine, presque squelettique. Sa petite taille renforce encore cette impression de fragilité que les hommes aiment tant, cette impression de pouvoir qu’ils ont sur elle, c’est une partie de son fond de commerce.
Bien que durant ses mauvaises passes, elle n’eut plus accès à toute sa beauté, elle l’a rapidement retrouvée grâce au tavernier.

Signes particuliers : Sofia a une cicatrice dans le bas du dos, en forme de demi-lune renversée et une autre sur le dos de la main droite qui la barre de la base de son auriculaire à la base de son pouce. Personne ne connaît l’origine de ces deux cicatrices, la seule chose qui est sûre c’est qu’elles datent d’avant son arrivée en Autriche.

Traitement médical : Sofia n’a certainement pas le luxe de pouvoir se payer des médicaments. Si il lui arrive d’être malade, son corps se démerde tout seul !

Dossier Psychologique :

Antécédents caractériels : Qui dit que la beauté est fragile a bien raison. Pour peu d’avoir pu connaître un peu Sofia, vous saurez qu’elle est tout sauf quelqu’un de caractérielle. Elle n’imposera jamais sa volonté par la force, et si elle ne manque pas d’ambition, elle n’est pas de taille à lutter vaillamment contre le courant. Mensonges et moyens détournés sont bien plus faciles à manipuler.

Dans la douceur de ses caresses, écrin de soie,
Qui verrait le poignard qu’elle tient du bout des doigts ?

Oh, elle ne vous verra jamais aucun mal avec le dit poignard, elle tient d’ailleurs un vrai toujours attaché autour de sa cuisse, mais qu'importe, elle en serait bien incapable. Elle l'utilisera par contre sûrement avec pour vous arracher une alliance. Le mariage lui permettant de trouver richesse et noblesse qu’elle n’a jamais pu avoir, malgré tous ses efforts. (À l'attention des gens, considérez le poignard comme une métaphore de ses mensonges...)
En beaucoup de situations, elle se fera très discrète. Son habitude à mentir fait d’elle une personne sûre, dans le sens où elle garde tous les secrets qu’elle pourrait découvrir pour elle.
Il est très dur de lui arracher quoique ce soit de son passé. À ce jour, elle mène avec brio six versions différentes, et deux auparavant ce sont déjà révélées fausses. Peut-être qu’une des six est la bonne ? Peut-être arriverait vous à recomposer son passé pour comprendre ses motivations ? Ne comptez pas trop là dessus.

Centres d’intérêts : Séduire les jeunes nobles pour essayer de leur extirper bijoux, argents, robes ou mieux un mariage. Mais elle n’a pas encore réussi. Mis à part ça, le pensionnat la passionne, mis à part tous les jeunes nobles qui y logent bien entendus, elle aimerait bien avoir un peu d’éducation. Ce sont deux raisons qui la poussent à rôder souvent autour de Rosenschloss, et dedans. Rarement.

Psychoses ou phobies : Aucune particulièrement, même si sa pauvreté la révulse et qu’elle fait une fixation sur son mariage avec un noble.

Dossier interne :

Biographie :
Vous ne saurez ici uniquement ce que les habitants du village pourraient savoir en réunissant leurs informations. Son histoire commence donc à son arrivée, il y a deux ans avec sa mère. Elles avaient toutes deux fait grande impression de par leur beauté, surtout la fille, dans son innocence et sa jeunesse. De l’époque d’avant, on ne sait que peu de choses : un père mort, pour quelles raisons ?, et aucun titre de noblesse.
Abritée par le baron du manoir de Hingenheim, le premier hiver qu’elles passèrent fut réchauffé au coin de la cheminée. Tout ce passait bien, la mère qui était employée par le baron et gagnait maintenant suffisamment pour vivre presque décemment. Même plus que décemment. D’ailleurs, la générosité franchement excessive du baron commençait à faire travailler les langues, des rumeurs de coucheries ne tardèrent pas à fuser dans le village. C’est pourtant bien après le début des rumeurs qu’il se passa quelque chose : vers la fin du premier été autrichien de Sofia, sa mère, lors d’une absence de la femme du baron, fut emmenée par celui-ci dans sa chambre. La pauvre fille ne revit pas sa mère avant le lendemain. Du haut de ses quinze années, la jeune fille ne comprit pas tout de suite l’histoire qui se tramait dans son dos. C’est aussi à ce moment que les rumeurs de coucheries cessèrent, paradoxalement. Au retour de l’automne, la jeune fille comprit le lien qui unissait maintenant sa mère et le baron. Cette découverte provoqua un grand chamboulement chez elle, qui, certains pourront le penser, d’autres pas, forma son caractère actuel.
L’aventure continua jusqu’à l’anniversaire de la poupée russe. Elle reçut un magnifique cadeau, dans une version très ironique de la chose : sa mère mourut. Nul ne sut jamais si c’était une maladie ou la jalousie de la baronne qui emporta la pauvre femme. Peu de temps après, le Baron, fou de rage que sa maîtresse soit morte, il n’aimait pas sa femme c’était claire, se rabattit sur la jeune enfant.
Et Sofia fut jetée à la porte par la Baronne, heureusement encore vierge, le Baron n’ayant pas eu le temps d’aller aussi loin. Pour notre petite poupée, ce fut une véritable descente aux enfers. Elle s’était réfugiée dans le village, espérant trouver un emploi correct pour essayer de survivre. Mais, à cause de son jeune âge, personne ne voulait prendre le risque de l’engager. D’autres pensaient que si elle avait été mise à la rue, il devait il avoir une bonne raison, quelques tares ou vices cachés et refusaient donc même de l’aider.
L’hiver revint, et il fut dur et froid pour la pauvre Russe. Sans logement, sans emploi, elle n’allait bientôt n’être plus qu’un cadavre fétide quand un jeune noble en mal d’amour vint la trouver et l’amena dans l’auberge. Ils prirent une chambre, firent l’amour et le Noble repartit en lui laissant un peu d’argent pour qu’elle puisse vivre. Cela lui permit de survivre jusqu’au mois suivant où ils se revirent et recommencèrent le même manège. La jeune fille partit alors dans de folles espérances de mariage, de richesse et de noblesse. Ils s’aimaient, c’était certain et ils passeraient la fin de leur vie ensemble ! Un mois après, il revint et il se passa la même chose, encore… Encore ? Pas tout à fait. À la fin, ils eurent une discussion, le noble eut la gentillesse de la prévenir qu’il partait, lui expliquant qu’il avait trouvé une épouse et qu’il allait maintenant vivre en France avec elle. Mais ce qui arracha le cœur à l’enfant russe fut le conseil du jeune homme à prendre d’autres clients. Il lui demanda d’ailleurs pourquoi elle avait refusé les avances d’autres nobles, et pourquoi elle n’avait accepté que lui. Quand il partit, elle pleura à l’ombre d’une ruelle pour toute une nuit. Le lendemain, les yeux bouffis de tristesse, elle dormit toute la journée, sur le sol. Après une semaine, le cœur brisé en mille éclats de verre coupants, elle devint ce qu’elle était aujourd’hui : fille de joie, ne repoussant aucune avance tant que celle-ci était avancée avec des pièces bien clinquantes. Elle gardait encore l’espoir qu’un Noble s’intéresserait elle et qu’elle pourrait l’épouser.
La vie était dure mais la jeune fille résistait aux coups durs, des brigands qui lui volait sa source de revenu sans ménagement, des clients tellement gourmands qu’ils la laissaient à la limite de l’inconscience. Le tavernier fut la première personne à avoir véritablement pitié d’elle. Il l’engagea officiellement comme serveuse, bien qu’elle garda ses ‘anciennes fonctions’ quand un bon client, soit fidèle soit riche, se présentait. Le tavernier trouvait aussi sa récompense car la taverne ne désemplissait pas, les badauds passant juste pour voir la beauté russe, Sofia avait presque retrouvée celle d’antan, passant juste et puis se payant une bière et finalement un repas complet, rien que pour voir Sofia les servir.
Sofia, reconnaissante, vouât au tavernier un respect presque absolu, lui obéissant plus qu’à sa propre conscience. Ce qui pour le moment ne lui a attiré que des bonnes choses : un toit, des repas chauds et un maigre salaire pour qu’elle s’achète des vêtements convenables.

Parcours scolaire :
Sofia est malheureusement illettré. Elle ne sait donc ni lire ni écrire et encore moins sur quelques sciences que ce soit. Elle a appris d’elle-même l’autrichien, en deux ans elle le parle correctement et elle sait toujours parler le russe. Elle ne sait donc pas grand-chose… Si ! Elle sait écrire son nom en alphabet cyrillique. Et elle en est fière !

Autres informations :

Fleur emblématique : Balsamine (Fragilité)
Couleur préférée : Bleu pouvoir.
Hobby : Draguer les beaux jeunes nobles.
Plats préférés : Kacha de sarrasin, Kissiel au miel

Vous :

Pseudo / Prénom : Lana x)
Âge : 16 ans
Comment avez-vous connu le forum : Esteban sait très bien corrompre les gens.
Votre activité sur 10 : 7
Remarques / Suggestions : Personnage Prédéfini : La Fille de Petite Vertu /

Bienvenue, Sofia ^^

(Eh, z'avez vu, je vous ramène des gens, bwhahahaha !)
Donc oui, comme je le disais sur imbro' et nescio, on a pas fini le design (celui-là est particulièrement moche, au cas où tu ne l'aurais pas remarqué, mais mes collègues sont sur le coup u_u)
A priori, tout est correct, même si j'ai cru voir quelques malheureuses fautes trembloter ici et là.
J'ai oublié de demander aux autres si je pouvais valider les gens. Rolf.
Enfin, tu n'en as plus pour longtemps à attendre, poupée x)

Bienvenue ^.^

Je laisse donc au Maître des Roses le soin d'évaluer ta fiche, mais...évitez le flood quand même.