Alyosa Tiourine

Etat civil :

Nom : Tiourine
Prénom : Alyosa
Âge : 15 ans
Sexe : féminin
Pays d'Origine:Russie
Titre ou emploi :

Fille unique du duc Tiourine



Dossier médical :

Taille :1 mètre 50 (non, elle n’est pas naine, juste un peu en retard niveau croissance)
Poids :41.5 kilogrammes
Description physique :
La chose la plus remarquable chez la demoiselle, c’est sans doute sa chevelure écarlate qui cascade le long de son dos. Elle contraste avec sa peau pâle et ses yeux d’un vert émeraude. Son visage plutôt fin est assez agréable à regarder avec ses grands cils noirs, ses yeux de biche, ses lèvres fines. En parlant de lèvre, il est fort rare de voir celles-ci s’étirer pour former un sourire. Le visage d’Alyosa est empreint d’une étrange mélancolie.
Globalement, c’est encore une enfant même si quelques formes apparaissent ça et là, laissant présager que cette jolie chenille deviendra un magnifique papillon. De taille moyenne, sa carrure de « fil de laine » comme disait le valet de chambre de son père lui donne l’air fragile. Cet air est accentué par sa manie de se tenir en retrait. Ses gestes sont généralement lents, gracieux. Sa démarche est particulière car elle ne marche pas, elle glisse, comme si elle répétait pour un éternel ballet. Il est rare de la voir vêtue autrement qu’en rouge ou noir, qui sont les couleurs de sa famille. Ses tenues sont globalement sobres, mais de bonne facture ainsi que ses souliers. Elle ne possède que très peu de parures (2 ou 3 bijoux, pas plus) qui lui viennent de la famille de sa mère. Pieuse, elle se déplace rarement sans son chapelet noir autour du coup.



Signes particuliers : Enfin, en regardant attentivement sa nuque, on peut voir qu’une poignée de grains de beauté représente la constellation de la grande ourse.


Traitement médical :

D’après le médecin de sa mère, ses yeux sont fragiles et elle doit donc dormir avec un bandeau sur les yeux imbibés d’une étrange mixture parfumée légèrement à la fleur d’oranger.



Dossier Psychologique :

Antécédents caractériels :
Alyosa n’est pas quelqu’un de très confiant envers les autres. Elle n’ira jamais spontanément vers quelqu’un si ce n’est pas une obligation. Pour cette raison, elle possède très peu d’amis mais leur est dévouée corps et âme. Ne croyez pas que sa timidité la rende fragile, au contraire. Quand on l’attaque, elle n’hésite pas à se défendre, oralement comme physiquement. Il est déconseillé de la provoquer. Calme, elle est inoffensive ; en colère, elle est redoutable. Elle parle rarement, mais parle bien. Sa voix est agréable, plutôt grave pour une demoiselle et très douce. Il lui arrive de chantonner quand elle joue du piano, son instrument fétiche. Férue de musique et de lecture, elle aime s’enfoncer dans un fauteuil confortable, un livre d’aventure à la main, ou jouer du piano des heures entières. Assez observatrice, elle aime traquer les petits détails ou petites manies chez les autres et les graver dans sa mémoire. Elle peut très bien oublier votre nom et se souvenir que la dernière fois qu’elle vous a vu, vous grattiez la poche droite de votre manteau avec votre index droit. Cette manie de l’observation la pousse à s’intéresser à la marche du monde en général, même si elle ne s’y mêlera jamais, ses opinions pourraient en surprendre plus d’un à commencer par son propre père. Le futur l’intéresse autant que le passé et elle aime noter ses analyses sur ce qui se passe autour d’elle dans un petit carnet noir sur lequel est dessiné un camélia et qu’elle range dans un recoin de sa malle connu d’elle seule avec ses petits trésors. Sa manie des petites choses peut surprendre. Elle gardera aussi bien un trèfle à quatre feuilles qu’un bouton de chemise ou une plume de corbeau.

Centres d’intérêts : Le violon, le piano, la lecture , ma mythologie, l’histoire, les sciences naturelles , la botanique et l’escrime.


Psychoses ou phobies :

Les ombres projetées parfois sur un mur lui glacent le sang.



Dossier interne :
[list]Biographie :

Ivan Tiourine traversa les couloirs qui le menaient à la chambre de sa femme d’un pas nerveux. Tout à l’heure, il avait bien faillit jeter un vase ancien à la tête du médecin qui lui avait annoncé la nouvelle. C’était impossible ! Il devait s’être trompé ! Il fallait qu’il se soit trompé !
Il ouvrit violement la porte derrière laquelle se trouvait le sanctuaire de Constance Tiourine .La jeune femme tenait un bébé dans ses bras. Autour d’elle, les servantes se pressaient pour admirer l’œuvre de la maîtresse et flattaient l’enfant en gazouillant à qui mieux mieux. Sans un mot, il s’avança et saisi le bébé sans délicatesse. Ce dernier se mit à pleurer. Sans en tenir compte Ivan le souleva au dessus de sa tête et constata l’ignoble vérité. C’était une fille.

-Madame, qu’est-ce ?

Constance répondit doucement.

-C’est Alyosa Tiourine mon ami.

Une des servantes eu la bonne idée de récupérer le bébé ; Ivan aurait été capable de le lancer contre le mur le plus proche. Pendant les deux heures qui suivirent, il hurla, tempêta, jura, fracassa quelques objets et parcourut la demeure de long en large tout en vociférant. En effet, Ivan Tiourine était réputé pour sa violence et son manque de maîtrise de lui-même. La noblesse respectait son immense fortune et son nom, mais craignait son caractère. Sa femme elle-même savait très bien qu’il était capable de tuer sa fille, alors elle décida de l’élever dans la partie la plus éloignée du château, celle ou Ivan ne mettait que très rarement les pieds. Après tout, s’il ne l’avait pas sous les yeux en permanence, peut être finirait il par oublier l’existence de l’enfant ?

Ne croyez pas pour autant qu’elle eut une vie désagréable, au contraire. Même si elle n’avait pas le droit de sortir hors de ses appartements, elle avait tout ce qu’une enfant pouvait souhaiter. Sa mère la couvrait de cadeaux, faisant venir des toilettes de Moscou, de Paris. Elle eut le droit d’étudier tout ce qu’elle désirait, même l’escrime. Avide d’apprendre, ses précepteurs ne tarissaient pas d’éloges sur elle, sauf le professeur d’arithmétique qui la trouvait sotte et sans intérêt.

Mais, en contrepartie, elle vécut dans la peur. Il ne fallait pas parler trop fort, éviter de jouer du piano le soir, bien éteindre sa chandelle quand elle entendait des bruits de pas. Parfois, elle entendait une voix grave résonner devant sa porte. En général, dès qu’elle l’entendait, un domestique surgissait pour l’emporter dans une autre pièce. Les domestiques…ce fut par eux qu’elle apprit que cette voix appartenait à un certain monsieur son père qui ne voulait pas la voir. Pourquoi ? Peut être à cause des ses cheveux pourpres…si différents de la cascade blonde de Constance…Parfois, la nuit, il lui semblait voir sur le mur l’ombre de la voix qui se penchait sur elle, menaçante. Alors, elle se réfugiait sous les couvertures et priait qu’il l’épargne avant que le sommeil l’emporte (A 8 ans, elle prit l’habitude de mettre une dague sous son oreiller).
Pour oublier sa peur, elle se réfugia dans les romans d’aventures, de cap et d’épées. Elle aimait s’imaginer en princesse prisonnière d’un terrible dragon nommé « père ». Après tout, n’était elle pas enfermée ?

Sa vie bascula pendant l’hiver de sa 15ème année, quand sa mère mourut. Les domestiques assurèrent à Constance qu’après avoir toussé pendant des jours et des jours, sa mère chérie était allée saluer les anges.

Son père refusa de la laisser sortir pour l’enterrement de sa mère, estimant qu’il n’avait pas besoin qu’on lui rappelle que le ciel ne lui avait donné qu’une fille. Son secrétaire particulier lui suggéra d’envoyer la fillette dans un pensionnat. Après tout, à 15 ans, elle était suffisamment grande pour vivre loin de chez elle, non ? D’ailleurs, autant en profiter pour l’envoyer à l’étranger ? En Autriche de préférence, puisque la jeune fille était quasiment bilingue.

Parcours scolaire :
Très vite, les précepteurs de l’enfant ont remarqués sa prédilection pour les matières plutôt littéraire, comme l’étude de la littérature et l’apprentissage des langues. Elle parle d’ailleurs (en plus du russe) couramment l’allemand, et le français. Elle a un niveau moyen en anglais et connaît quelques mots d’italiens. Elle est plutôt douée en escrime et en botanique, mais nulle en arithmétique et en géométrie. Elle n’a jamais monté un cheval de sa vie.

Autres informations :

Fleur emblématique : Le camélia blanc
Couleur préférée : le rouge et le noir
Hobby : la musique, la lecture et l’escrime.
Plats préférés :

Tout ce qui ressemble à un dessert (ne parlons même pas des sucreries)




Vous :

Pseudo / Prénom :Na-O
Âge :17 ans
Comment avez-vous connu le forum : je venais de posterma fiche sur l’autre quand on m’a envoyé un message a propos de celui là.
Votre activité sur 10 :7/10
Remarques / Suggestions :

aucune.

Après un examen minutieux de votre candidature, nous vous annonçons avec grand plaisir que l'établissement sera heureux de vous accueillir parmi ses pensionnaires.

En gage de votre acceptation, nous vous enjoignons le sceau de la rose signifiant votre appartenance à cet établissement. Nous vous recommandons maintenant de signer l'acceptation du règlement intérieur afin que tout soit en ordre.

Il vous est recommandé de ne pas perdre le sceau de la rose, car celui ci est unique et un nouveau ne pourra vous être remis.

Nous vous souhaitons un bon séjour à Rosenschloss,
l'Administration.


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Gain : Bague du sceau de la rose, bague d'or jaune sertie d'un rose d'obsidienne stylisée.