En arrivant au troisième étage il vous faut traverser un couloir entier pour enfin entrevoir la porte.
Inhabituellement encastré dans un coin du mur, la porte se remarque à peine.
C'est une porte, certes surplombé d'une frise assez subjective, de par le fait qu'elle illustrait
quelconque scène rurale ou cérémonial. Cependant en n'en reste pas moins fondu dans l'ambiance du couloir.
La grosse serrure de métal est encastré dans le bois, seul une forme cylindrique
en dessous d'un lièvre assit laisser entrevoir le système, qui d'ailleurs n'avait pas de poignet.
Seul une clef d'une forme assez grosse pouvez à la fois servir à ouvrir la serrure et de poignet.
Si vous arriviez toute fois à ouvrir cette porte ou être invité à la passer, vous vous apercevrez
de l'épaisseur de la porte tailler dans la masse. Celle-ci donne sur un petit couloir à peine
plus long que la largeur de la porte.
Maintenant vous vous trouvez dans une pièce carrée bordée de plusieurs bibliothèques,
pour la plupart remplies ou en train de se remplir. Elles font dans un certain sens office
de décoration murale de par leur positionnement régulier, interrompue par des tentures
ou de hautes meurtrières possédant deux fenêtres, dont certaines étaient agrémentées de vitraux.
Au centre se trouve un bureau de bois massif posé sur un ensemble de tapies, ornementé en adéquation
avec la frise d'entrée. Sur ce bureau il s'y trouve toujours quelque reliures et parchemins ouvert et des fiches d'annotation.
Au cas où il vous prendrait l'intention de vous asseoir, vous serez confortablement happer
par un fauteuil de cuir noir rembourré, d'un bois sombre massif au formes minimales.
Vous tenant dos à la porte d'entrer, vous pourrez si vous l'avez remarqué,
vous dirigez vers une porte coincé entre deux bibliothèques, dont le bois semble se fondre dans la masse.
La porte donne dans une pièce moins chaleureuse que la première, dépourvu de quasiment toute boiserie,
mais plus lumineuse.
Ce qui vous saute au yeux est la symétrie de la chambre.
Sur votre droite une grande fenêtre en ogive pourvu d'un triple vitrage, dont une fresque en vitrail,
devancé d'une corniche à trois étages en escalier,
celle-ci répond à une alcôve, de mesure identique contenant une madone voilée un rosaire entre les mains,
elle aussi monté sur un ensemble en escalier. Sur les marches de cette alcôve brûlent des bougies et de l'encens,
à côté de petites statuettes de métal et de bois. Plusieurs colliers et chapelet coulent le long des marches,
les couvrants de différents symboles pour la plupart inconnues.
Non loin d'elle se trouvaient un bénitier faisant office de pièce d'eau, et une baignoire en pierre et émaille
incrusté dans la masse du mur. Suivant le mur, votre regard se porte sur un lit de bois massif, sans baldaquin.
En vous retournant, vous pouvez voir une cheminée de taille moyenne, au-dessus de laquelle
avait été accroché longtemps un tableau, qui a laissé les marques de son absence.
Sujet: Chambre du professeur Zagmaister ( description ) 
Lun 27 Sep - 15:21